• Ni chaud ni froid, Minette WALTERS

    A Sowerbridge, une vieille dame fortunée et sa garde-malade sont sauvagement assassinées. On arrête un petit voleur irlandais qui est immédiatement mis sous les verrous. Il n’en faut pas plus pour ranimer la flamme d’un racisme séculaire dans la petite ville d’Angleterre. Par solidarité avec ses compatriotes irlandais, Siobahn Lavenham tente de défendre la famille du meurtrier présumé sur laquelle s’acharnent les habitants. Ragots, rumeurs, haines ancestrales, tout et n’importe quoi se dit au sujet de n’importe qui. Le pire de préférence…

    Sowerbridge? Un petit village qui vaut le détour…  Surtout quand Minette Walters s’y promène.

    Petite lecture agréable (159 pages, mais imprimé en gros caractères), se lit vite.

    Je ne sais pas trop comment le qualifier. Polar? Enigme? En tout cas, j’ai pris plaisir à le lire, et je lirai à nouveau cet auteur prochainement je pense.

    Ici il y eu un double meurtre. Evidemment ça jase dans les chaumières… Les habitants du village désignent d’office comme coupables « ces gens-là » qu’on aimerait bien voir dégager. Mais il ne faut pas se fier aux apparences, n’est-ce pas? Les gens du village ont peut être jugé un peu vite leurs voisins, focalisés sur leurs préjugés. Comment dit-on déjà? Balayer devant sa porte…

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