Hazel est malade. Gravement. Augustus est en rémission. Elle a 16 ans, lui 17. Dès leur rencontre, en groupe de soutien, il est charmé par son originalité, elle est séduite tout court. Ils ont le même humour, le même regard sans concession et leur complicité est immédiate. C’est le début d’une magnifique histoire d’amour et d’amitié.
Hazel a 16 ans. Elle est atteinte d’un cancer mais son dernier traitement a stoppé l’évolution du vilain crabe et lui laisse un peu de répit. Elle participe à contrecoeur à un groupe de soutien où elle va faire la connaissance d’Augustus et d’Isaac.
C’est poignant, très émouvant, sans pour autant tomber dans le mélodrame. Oui c’est triste. Oui j’ai pleuré. Mais parce que c’est touchant. L’histoire d’Hazel et de Gus est terrible et magnifique. Une histoire forte d’amour et d’amitié infaillible. Oui, la maladie et la mort sont omniprésentes. Mais l’histoire ne ressasse pas que le malheur ou la détresse des personnages. C’est un formidable hymne à l’espoir. Comme d’autres l’ont si bien dit, « une ode à la vie ».
Une très belle lecture.
(Je n’ai pas vu le film. Je vais très rarement voir les adaptations car en général je ne croche pas. Paraît que cette adaptation est un peu décevante. Trop patos justement. J’ai vu des comparaisons avec Love Story.)