• Mémé, Philippe TORRETON

    « Mémé, c’est ma mémé, même si ça ne se dit plus. Mémé me manque. Ses silences, ses mots simples au Scrabble, sa maison enfouie sous les pommiers et son buffet d’avant-guerre. Ce texte est subjectif, partial, amoureux, ce n’est pas une enquête, ce n’est pas une biographie, c’est ce que j’ai vu, compris ou pas, ce que j’ai perdu et voulu retenir, une dernière fois. Mémé, c’est mon regard de gamin qui ne veut pas passer à autre chose. »

    Voici le portrait qu’à plus de quarante ans Philippe Torreton fait de celle qui fut le personnage central de son enfance, un portrait tendre et nostalgique, construit par petites touches comme la mémoire, où chacun retrouvera sa grand-mère ou celle dont il a rêvé.

    C’est parfaitement résumé. C’est tout à fait ça: le portrait tendre et nostalgique d’une grand-mère vue par son petit-fils. Une série de souvenirs et d’anecdotes mis bout à bout. L’occasion de deux ou trois bons mots. Ca tiendrait plutôt du journal intime.

    A mon sens, ce récit n’a pas d’intérêt en dehors de la famille de cette Mémé-là. Pour eux,  c’est plein d’images, de joies ou de peines. Moi, j’ai eu du mal à finir et je me suis franchement ennuyée. J’ai fini parce que je déteste ne pas finir un livre. Par principe. Ca a peut être été publié parce que c’est Monsieur Torreton, je ne sais pas, mais je me suis demandé pourquoi. Voilà: pas transcendant du tout.

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