• Samedi, la Petiote me faisait un gros câlin, toutes deux lovées dans le canapé, quand d'un coup, elle se redresse, se tourne vers moi et me dit:

    - Maman, si un jour il y avait besoin, je veux que tu donnes mes organes. Et toi aussi, hein, tu donneras les tiens?

    J'avoue que sur le coup, je suis restée plutôt ébahie, moi-même n'ayant jamais réellement réfléchi  sérieusement à la question. Je lui ai promis que le cas échéant je respecterai son choix, tout en priant pour n'avoir jamais à honorer cette promesse.

    Cette gamine, ma toute petite, mon trésor, m'étonnera toujours. Mais j'aimerais quand même bien savoir ce qui l'a poussée à envisager cette possibilité. A 11 ans.

      

    Technorati

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  • Voici le goûter préféré de la Petiote. Il y en a toujours un en commande.

    Il faut:

    - 22 carambars (et leurs histoires drôles)

    - 10 cl de lait

    - 150 g de beurre

    - 120 g de sucre en poudre

    - 3 oeufs

    - 150 g de farine

    - 1 sachet de levure

    - 4 pincées de fleur de sel

    Dans une casserole, verser le lait, le beurre et les carambars. Faire fondre pendant 5 mn, jusqu'à obtention d'un caramel bien fluide.

    Préchauffer le four à 180°C.

    Dans une jatte, mélanger le sucre, la farine, la levure, les oeufs et la fleur de sel.

    Verser le mélange caramel sur la préparation et mélanger.

    Verser dans un moule à cake bien beurré.

    Au four pendant 40 mn environ. Moi, avec mon four capricieux, 30 mn suffisent.

    A déguster en se racontant les histoires drôles Carambars!!!

     

    Recette piquée chez ado-mode-demploi.fr

     

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  •  

    Depuis six mois que Suzanne a disparu, le commissaire Franck Sharko erre dans un monde peuplé de ténèbres. La découverte d'un cadavre cruellement mutilé, en une mise en scène défiant l'imagination, va le propulser au cœur d'une implacable machinerie meurtrière. Un voyage hallucinant et halluciné, des carrières granitiques bretonnes aux sordides backrooms sadomasos de Paris... Tapie dans l'ombre de la Toile, serait-ce la résurrection de l'Ange rouge, cet esprit machiavélique qui mène la danse à train d'enfer ? Et ce n'est pas Poupette, sa loco modèle réduit, seule encore à apaiser ses tourments, qui pourra lui indiquer la voie...

    "Un cadavre est retrouvé par la police aux environs de Paris. La victime a été décapitée, les yeux arrachés et replacés dans leur orbite, les membres suspendus par des crochets. Le commissaire Franck Sharko est chargé de l'enquête. Ce meurtre l'intéresse d'autant plus que sa femme, Suzanne, a disparu depuis 6 mois et qu'elle pourrait être, en ce moment même, entre les mains d'un déséquilibré du même acabit. Bientôt des indices sont envoyés par le meurtrier directement à Sharko, par email et sur son portable. Le tueur est là, tout près. Il connaît Franck qui se fait aider d'une profileuse et d'un pro de l'informatique pour son enquête. Un autre cadavre de femme ayant succombé à ses blessures est retrouvé dans des abattoirs désaffectés, atrocement torturée et dont l'agonie a été filmée pendant des mois." Livre.fnac.com

    L'enquêteur, le commissaire Sharko, est un être torturé qui ne se remet pas de la disparition inexpliquée de sa femme six mois plus tôt, et qui va se trouver confronté à son pire cauchemar.

    Un personnage principal (le commissaire) complexe, un tueur sadique et minutieux, des personnages secondaires attachants. Thilliez nous confronte ici aux bas-fonds sadiques / SM, poussés à leur paroxysme.

    Un excellent thriller, très noir, et une intrigue captivante, très glauque. J'adore!

      

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  • Pendant lesquelles j'espère réussir à me reposer (dormir, dormir, dormir).

    J'essaie pourtant.

    Hier soir, par exemple, je me suis couchée tôt. A 21h30 j'étais au lit. J'ai bouquiné un peu. Me suis endormie sur mon livre. A 23h30, réveil. Me suis levée pour éteindre la veilleuse de la Petiote.

    J'ai mis pas mal de temps à me rendormir. Et à 4h23 ce matin, j'étais déjà réveillée. Clouée au lit pour ne pas réveiller ma Puce. Même pas pu en profiter pour lire, la lumière de ma lampe de chevet la réveille (déjà essayé). Je suis donc restée sous la couette, à me tourner et me retourner jusqu'à l'heure de se lever. Que les minutes sont longues dans ces cas-là!

    Je suis fatiguée, mais fatiguée!!!!

      

      

    Technorati

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  • Et aussi, ça, c'est drôle.

    C'est tout. Pour le moment.

     

    Technorati

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  • Ah lalala!!! C'est terrible, cette journée qui n'en finit pas!

    Voilà plusieurs jours que je ne dors pas. Enfin si, je dors, mais je n'arrête pas de me réveiller, à longueur de nuit. Du coup, je ne me repose pas. Et quand vient l'heure de se lever, je me sens harassée. C'est lassant, vraiment.

    Sinon, je suis tombée sur un blog très sympa, le Blog de la Peste, référencé à gauche sous le nom de Lôla Peste.

    J'ai lu toutes ses archives.

    J'ai compati, j'ai rigolé, j'ai envié sa garde-robe (et son tour de taille, même si elle se trouve trop ronde), j'ai salivé.

    J'ai aussi noté un certain nombre de bouquins à lire (voire même un nombre certain, merci Lôla, moi aussi j'adooore les polars et autres thrillers), et des films à voir aussi. Et j'ai décidé qu'il me fallait une Senseo. Et là, je m'en vais m'inscrire à la Newslettre de My Little Book Club.

    Bref, j'adore.

    Technorati

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  • Inconnu à cette adresse, Kathrine KRESSMANN TAYLOR

     

    Ils sont tous deux Allemands. L'un est Juif,  l'autre non, et leur amitié semble indéfectible. Ils s'expatrient pour fonder ensemble une galerie d'art en Californie mais, en 1932, Martin rentre en Allemagne. Au fil de leur échanges épistolaires, Max devient le témoin impuissant d'une contamination morale sournoise et terrifiante: Martin semble peu à peu gagné par l'idéologie du IIIe Reich. Le sentiment de trahison est immense; la tragédie ne fait que commencer...

    Un roman très très court (dans cette édition, à peine 80 pages), qui se lit très très vite, et très efficace, percutant.

    Cette nouvelle, a expliqué l'auteur, est fondée sur quelques lettres réellement écrites. C'est en discuttant de ces lettres avec son mari que lui est venue l'idée de les romancer un peu. Sa publication en 1938, dit Whit Burnett dans la préface, a connu auprès du public un engouement sans précédent. Le numéro est épuisé en 10 jours. La demande fut telle qu'il fut impossible d'y répondre. Cependant, d'après ce que j'ai pu en lire, le message pourtant clair et très fort, n'a pas semblé percuter les esprits. Edifiant!

    Encore un classique. A lire.

    La prochaine fois, on change de registre avec un thriller.

      

      

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