D'abord parceque tout le monde il est en vacances et pas moi, je bosse. Et moi aussi je veux être en vacances!!! Encore deux longues semaines à tenir. J'en ai marre, je m'ennuie. (oui c'est mon quart d'heure où je me plains)

Et puis parce que tous nos plans sont tombés à l'eau les uns après les autres. Il a été question de partir au Croisic avec mes ex beaux-parents, mais finalement, n'ayant pas eu les dates qu'ils souhaitaient, ils partiront quand je reprendrai le boulot.

Et puis nous devions aller rejoindre Môman et des amis dans la région de Saint Malo mais nos chers amis n'ayant pas jugé utile de confirmer les réservations, que pouic. Le bec dans l'eau.

Et forcément, à 15 jours de partir, tout est complet partout.

Alors cette année, Minouchette et moi resterons à la maison.

Moi qui me faisais une joie de quitter MaVille trois jours dans l'année!

Fait chier!

Alors voilà, j'ai quatre doublons dans ma bibliothèque. Donc, quatre petits livres cadeaux. Si tu en veux, je te les donne.

FLAUBERT, Trois Contes

Editions Livre de Poche, Collection Classiques de poche. Un classique du collège. Il a bien vécu, mais bon, il peut encore servir.

Gaston LEROUX, La Poupée Sanglante

Editions Le Livre de Poche 1977. Pareil, il est passé de main en main, il a bien vécu aussi.

Bernard WERBER, Le Livre du Voyage

Quasi neuf. Editions Livre de Poche.

François DEBOUT, Quand la nuit tombe

Neuf. Editions France Loisirs, collection Piment.

L'histoire: A Challonas, en Savoie, Eric, 12 ans, et trois de ses camarades creusent le sol d'une grotte à la recherche d'un improbable trésor, lorsqu'ils font une surprenante découverte: de l'argent en grosses coupures et un cadavre bien encombrant. Eric envoie un message de détresse à la police, telle une bouteille à la mer. Tempes légèrement grisonnantes, regard direct et ravageur, l'inspecteur Koro, en chasse après de dangereux racketteurs, est chargé de l'enquête...

Voilà, si ça t'intéresse, tu me laisses un petit mot et c'est pour toi.

Des bises.

Jackie, c'est l'histoire de toutes les femmes. Elle nous ressemble terriblement, mais n'a jamais voulu qu'on le devine. Elle était beaucoup trop fière. Alors elle est devenue un personnage de roman. Pour mieux noue égarer, pour mieux nous épater. Elle a jeté de la poudre de perlimpinpin aux yeux du monde entier. Elle a dissimulé ses fragilités, ses mystères et a construit son propre mythe. C'est le roman d'une vie que Katherine PANCOL nous raconte ici.

 Katherine PANCOL aime Jackie. On sent l'immense plaisir qu'elle a pris à relater la saga Jackie BOUVIER KENNEDY ONASSIS. Une très jolie biographie qui se lit comme un roman. Moi qui ais du mal avec les biographies en général, je me suis plongée dans celle-ci.

La plus grande oeuvre d'art jamais créée dort dans les cartons d'un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d'exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé d'innocents portraits d'enfants. Le succès est immédiat, lemonde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages: ceux d'enfants victimes de meurtres irrésolus...

 Je ne qualifierais pas ce roman de thriller (il y a bien mieux dans le genre), mais l'intrigue est intéressante et la lecture facile. L'histoire est un peu longue à se mettre en place, le suspens se fait un peu désirer, quelques longueurs, mais une lecture pas désagréable au final. On finit par se prendre au jeu des personnages. Maintenant, de là à lui attribuer un Grand Prix, ...

Un bémol: l'approche de l'homosexualité du personnage de Victor, un peu... "à côté", je ne sais pas trop comment dire autrement.

On est contents, on a eu 1h30 d'éclaircie samedi après-midi, un petit répis (je dis bien petit) entre les averses hier, le temps de descendre dire au revoir à ma Petiote qui, comme chaque année, est partie pour un mois en vacances chez son père et ses grands-parents. Là c'est ma semaine de déprime et d'adaptation qui commence. Comme chaque année.

Là, à 17h27, un nuage a bougé et on devine un léger rayon de soleil. Quoiqu'ici on ait un peu oublié ce que c'est, le soleil. C'est devenu un concept.

En plus ici les nouvelles ne sont pas formidables. Elles sont même carrément pourries. Enfin, pas moi directement, mais pour mon ex belle-famille. De graves problèmes relationnels au sein de la famille qui obligent  les grands-parents de la Petiote de changer complètement leurs plans pour ces deux mois "d'été". Impossible de rester à la maison à cause d'attaques répétées. Du coup, pour protéger la Petiote et lui cacher ces fâcheux évènements, sa grand-mère l'emmène passer deux semaines chez le Tonton. Après quoi, l'Ex la récupère et part avec sa copine dans la Manche. Il se pourrait même qu'ils soient obligés de déménager pour pouvoir retrouver un semblant de paix. Je n'entrerai pas dans les détails mais c'est un sacré pataquès.

Ajouté à cela un gros clash au boulot la semaine dernière, j'ai un peu de mal à dormir ces derniers temps et une bonne migraine depuis hier soir. Suis crevée.

Mais sinon, j'ai un peu fait les soldes et trouvé deux - trois trucs très sympas. Et sans trop me ruiner. Et ça, c'est cool. (du coup, j'ai passé une deuxième commande, c'est pas bien!)

Et une pensée pour Moune qui va retrouver une Bretagne aussi grise que Paris et pour Saryelle pour qui le Grand Jour est tout proche (une faveur à te demander: une photo de Vivi dans sa tenue de demoiselle d'honneur). Des bises les filles.

Alors voilà: La Petiote se demande si elle n'aimerait pas ouvrir un blog mode pour ados. Parce que bon, elle adore les fringues (oui, c'est un tout petit peu de ma faute, je sais bien). Elle voudrait donc vous présenter une tenue et toi tu fais des oh!!!! et des ah!!!! Merci bien, tu es bien urbain.

Voici donc un premier aperçu (et peut être le dernier?) de la garde-robe de la Petiote.

Top asymétrique Teddy Smith

Legging Kiabi

Bolero Kenzo

Sandales Gémo chaussures

Je n'arrive pas à retrouver la marque du gilet.

Nous refermons la page mode pour aujourd'hui. Merci de ton attention.

Frédo aurait voulu être un gangster. Seulement, au lieu de manier la mitraillette devant un comptoir de banque, il pousse des chariots dans un hôpital pour vieux. Heureusement, il y a Lepointre, un vioque pas comme les autres, expert en combines et truand indécrottable. Quand une riche pensionnaire vient échouer à l'hosto, ils s'imaginent déjà des diamants plein les poches...

Thierry Jonquet est l'une des figures du nouveau polar français, avec des romans très noirs, ancrés dans le réel, où se mêlent satire politique et critique sociale. Le Point.

 Portrait sans concession et même impitoyable, de ces mouroirs. Il y a malgré tout une vraie pudeur, une tendresse envers ces patients.

Malgré cet univers glauque et sordide, ce petit roman est un bijou d'humour noir.

Sordide, drôle et noir, voilà qui convient très bien. Du coup, je suis curieuse des autres écrits de ce romancier. En tout cas, j'ai bien rigolé.